[Novice du Clan Datenshi]

Information sur votre Personnage

Nom : Datenshi.
Prénom : Je m'appelle Devit.
Age : 15 ans.

Clan : Le clan Datenshi ; je sais que Shôdo est d'accord.
Première Affinité : Kinton.
Deuxième Affinité : Raiton
Affinité tertiaire : (Décidé par le hasard si votre clan ne vous en fournis pas.)

Classe de votre ninja : Stratège/Espion
Rang de votre ninja : Novice
Spécialité : Kekkai Genkai (Kinton).

Moral :: Physique :: Histoire

Moral de votre personnage (10 lignes)

► Modeste Ninja du clan Datenshi, dû à ses origines royales, cette personne est doté d’une prétention croisée d’une fine arrogance qui, parfois, le fait transparaître comme un enfoiré de première. Il est altier et semble si cupide qu’on aimerait sans doute le jeter hors du village pour qu’il cesse de polluer l’atmosphère de ses nombreux, dits « défauts ». Malgré son caractère hautain et suffisant, il reste tout de même fidèle à son ethnie et les seules valeurs qui vaillent le respect d’après lui sont la bravoure et la ténacité. Pour en revenir à son caractère bien trempé, la beauté extérieure se doit d’être irréprochable, impeccable et magnifique et selon la volonté de sa vocation, la splendeur de l’âme est reflétée par la brillance et l’éclat d’un corps entretenu. Aujourd’hui, Devit est meurtri par cette obsession de classe et de magnificence lui forgeant cet aspect de sa personnalité qui fait de lui un personnage assez prisé du territoire. Au-delà de toutes ces caractéristiques, il est surtout un ninja respecté et apprécié de sa famille.
Par le passé, il a en revanche, trahi la confiance du chef du clan pour découvrir les joies et les douceurs d’autres pays, et pouvoir prêcher sa vocation. Il a d’ailleurs abandonné son frère par orgueil et a bien failli subir une peine à la hauteur de sa folie. Mais au final, bien qu’il eût été un personnage repoussant, il a su préserver sa « race » - Comme il dit – et dispose d’une intelligence relativement élevée et d’une discrétion sans faille – Du moins au niveau féodal – puisque, par sa perfidie, il a su s'escorter seul hors du joug de ses confrères. Nous commençons déjà par l’origine de sa personnalité, qui, d’après plusieurs hypothèses est d’une complexité certaine. D’après les propos avancés par sa défunte mère, cet adolescent a tout du parfait skyzophrène mystérieux, un rejeton plus qu’obscur tout en s’opposant aux idéaux de la félicité finale. Il décrit une future apocalypse qui, accompagnée de ses frère, dévorera chaque individu de cette planète. Vous l’aurez sûrement compris, la folie ronge Devit maintenant bien désespéré mais qui possède néanmoins un réel potentiel qui le rend monstrueux. Il a ses propres idéaux, des desseins d’un noir indescriptible. Malgré son jeune âge, ses malheureux quinze ans, il semble assez mature pour son âge et n'aime pas vraiment faire la conversation à qui le veut bien. Non, il est plutôt du genre à se jouer d'eux via le mutisme et la cécité tout en gardant une impassibilité incroyable. Cependant il la perd dès lors qu'il affronte un adversaire ou qu'un combat s'engage ; auquel cas il est pris d'une soudaine excitation qui le carbure jusqu'au plus haut point. En communauté, Devit est un adolescent timide et reste tout de même accueillant, sauf avec les enfants car il a horreur du bruit et de la cacophonie. Malgré le mutisme dont il fait preuve à l’égard de ses interlocuteurs, il reste néanmoins un personnage libertin qui ne se laisse pas marcher sur les pieds ; avec lui, l’injustice n'a pas sa place sauf si sa cause est criminelle ; il n'y aurait plus de notion injuste. En conclusion, nous pouvons très facilement parler de cette facette de sa personnalité, qui s’apparente étrangement à celle du méchant cliché, mais au fond, chacun sait pertinemment qu’une telle personnalité dissimule une autre bien plus compliquée et plus exploitable.

Physique du personnage (10 lignes)

► Les caractéristiques physiques d’un tel fanatique sont d’une étrange fascination tout en gardant une part d’énigme frôlant l’indéchiffrable. La beauté n’est pas une chose négligeable, l’apparence est et restera toujours un critère de jugements humains. Ces yeux sont ornés d’une poudre noirâtre qui accentue étrangement le rouge azur de ses pupilles ; d’ailleurs son iris semble différent de la couleur qui tapisse ses yeux.
Le tissu de son long blouson est uniquement fait de soie foncée, on peut même dire qu’elle est d'une sombre pourpre. Son haut col relevé lui permet de dissimuler son identité aux premiers abords. D'ailleurs les plumes de son blouson caresse son visage foncé. Il coiffe ses cheveux d’une manière bien précise ; rien n’est trop parfait dans ce monde, sa coiffure représente cet aspect pourri de la vie. De longues mèches noires lui tombent devant le visage un peu en bataille afin de le faire transparaître comme un garçon mauvais et hautain. Une telle coiffure, définit par personnification, la folie de cet illuminé qui malgré le tourment qui l’obsède, garde partiellement une certaine modestie.
Son regard, des plus déterminés, semble percer n’importe quoi tout en gardant une froideur intense, si transcendante qu’elle perforerait même la matière la plus rigide qui soit. Un sourire malin et narquois s’affiche fièrement sur son visage s’apparentant presque à celui des plus grandes allégories maléfiques, je vise symboliquement Satan.
Ce personnage est aussi bien étrange en somme ; il arbore plusieurs mimiques. Il sait montrer son agacement comme il le fait par des expressions exagérées et emploi un vocabulaire soutenu.

Histoire de votre personnage (30 lignes)

« Prélude d’une misérable enfance. »

Désespoir. Nom commun représentant d’une manière proche l’affliction. Oui ces deux mots sont d’excellents mots qui définissent particulièrement l’enfance d’un certain garçonnet d’un clan quelconque, sans intérêt. Il y a bien longtemps, alors que la religion était un mode de vie incontournable, naquit ce petit garçon, qui dès sa naissance eut une existence malheureuse. En effet, ses parents ne désiraient point une telle calamité qui allait aggraver leurs modes de vie, à savoir partage de richesse. Sa mère, après un accouchement douloureux, ne pouvait supporter l’arrivée de ce bébé. A cette époque, les femmes mettaient au monde leurs bébés seules ou aidées d’une femme accoucheuse, dans la douleur.
A sept ans, Devit ne connaissait que brimades et maltraitances dans sa vie quotidienne. Dans la cave, il vivait enfermé alors que ses parents le battait et lui donnait que très peu à manger, juste de quoi subsister. Aucune échappatoire à ce pauvre enfant qui ne recevait ni affection ni amour. Ils étaient de fervents pieux, croyants et pratiquants mais Devit, malgré son jeune âge, ne pouvait vénérer ce Dieu tellement elle haïssait ses parents. De sorte qu’il choisît, secrètement, une croyance envers un être cruel, perfide, mais tant adapté à sa rancœur.
Son nom ? Est-il indispensable de le citer ?
Il était dangereux de le prononcer et le seul fait de l’entendre en faisait frémir plus d’un. Celui pour lequel Dévit vouait tant de dévotion s’appelait … « Y ».
Du moins, il ne le savait pas, le sien n’était qu’une fiction imaginaire s’apparentant de près à l’ange déchu ; Un visage répugnant et effroyable pour contraster la pureté de Y, une apparence digne des plus belles représentations ecclésiastiques pour le diviniser, des plaies profondes et souillées représentant les blessures irréversibles que les parents de Devit avaient provoqués à leur cadet, mais surtout un visage malicieux croisés d’une supériorité qu’il espérait tant adopter à l’égard de ceux qu’il haïssait, à savoir ses parents et ses deux frères ainés. Ce seigneur chimérique le confortait dans ses moments de solitudes durant lesquelles il se lamentait et pleurait son sort qu’il ne méritait pas. Dans la sombre et humide pièce dans laquelle il vivait, il parlait, certes seul, mais ses messages dont les motifs étaient d’un sinistre effrayant, parcouraient la salle de sa douce et paisible voix d’enfant dans l’espoir d’être entendus. Quatre ans de calvaire s’en suivirent mais cette fois-ci, Devit avait un pilier sur lequel s’appuyer le soutenant dans ses moments de faiblesses. Sans s’en rendre compte, l’enfant âgée de onze ans, commençait peu à peu à se vouer au rite de Y. Oui, on ne peut plaisanter avec ce genre de religion blasphématoire d’autant plus qu’une telle dévotion était strictement interdite, punie par la mort. Enfin, la mort n’est pas un mot qui pouvait susciter de la peur aux yeux de Devit, puisque celui-ci était finalement partisan d’un mouvement de haine qui allait, tôt ou tard, l’amener au Jugement Divin. Mais avec une telle solitude, une telle existence, comment peut-on lui reprocher de vendre ainsi son âme au plus vil des anges qui aurait, de toute manière, acquis sa loyauté par son passé douloureux ?
Lorsque le voile tomba, Devit découvrit avec stupeur que son imagination avait façonné une réelle divinité, cette divinité deviendra hostile et matérielle, cette divinité représentait … Jashin.

…

« J’ai trahi les Datenshi à de nombreuses reprises. La première fois fut parce que je le voulais, je voulais me sortir de leur emprise maléfique, j’ai tenté de perdre la vie, mais ils me gardaient en leur sein. Les autres fois furent par dépit et lui seul sait ô combien de fois j’ai du franchir les portes du jugement dit dernier. Je fus acquitté à plusieurs reprise sauf la dernière fois. Je déteste mes frère, depuis que je suis né il n'apporte aucun intérêt à ma personne. Mère m'a longtemps écarté de la nation tant elle me détestait. En somme, il parait que je lui ressemble beaucoup bien que je tente de changer ma voie. Mais découvrant que je possédais les techniques héréditaires du clan, il ne m'aura pas fallu longtemps pour émerger de mon cachot. Mais, une fois sorti de ma cave, une fois que j'ai découvert le monde extérieur à mes onze ans, j'ai découvert un monde détruit et moisi par la prétention et la haine. Finalement c’est loin d’être une bénédiction, croyez-moi … »

Vous désirez un Clan ?

Nom du clan : Datenshi.
Affinité du clan : Kinton.
Capacité du clan : Maîtrise total du métal.

Information Personnelle

Nom/Prénom/Pseudo : Maxime.
Age : 17 ans.
Hobbies : Ecriture, Dessin, Amis.
Comment avez vous connu ce forum ? Shôdo chéri.
Un avis sur le thème ? Just wonderful !

[Chef du Clan Datenshi | Admin]

Yeah Devit la classe !

Bon mis à part deux trois trucs dans ta prez qui me chagrine comme le fait que nous soyons issu d'une famille pauvre >< Ce qui n'est pas le cas puisque nos parents sont rois et nous princes XD

Enfin si tu arrives à changer ce petit détail ce sera parfait.

Si tu veux faire un test rp je te donne le sujet de ton premier voyage, ce que tu as fait ce que tu y as appris etc...

Dans le cas contraire tu commences novice avec +5xp

[Novice du Clan Datenshi]

Test RP:
.

◄ « Ma haine, elle dépasse totalement votre idée de celle-ci. Mon hypocrisie, elle maquille cette émotion belliqueuse à l’égard de ma famille. Ma jalousie, elle témoigne de la suprématie de mon intérêt personnel. Alors quoi ? Vous pensez réellement que parce que je n’ai que quinze ans que je ne suis pas plus mature que ces deux pourris gâtés ? Laissez moi vous prouver le contraire ; j’ai traversé plusieurs bourgades afin de comparer à ma triste existence. C’est vrai, c’est prestigieux d’être fils de roi et reine, mais un enfant refoulé n’accède à aucun prestige, aucune garantie de vie, aucun bijou, aucune influence royale. Je crois que c’est bien pire que de vivre en tant que miséreux, ils ont certainement la chance d’avoir une famille pour eux, quant à moi, je n'ai pas eu cette chance. » ► Une ombre rôdait depuis quelque temps aux abords de la demeure des Datenshi, s’engouffrant chaque nuit un peu plus proche de la cellule de Devit. Cette geôle était la punition de cet enfant qui n’avait aucune raison d’exister ; la cupidité de ses parents faisaient que sa seule existence était son plus grand pêché. Depuis son plus jeune âge il n’a vécu qu’en tant que martyr et ce derrière le dos de ses frères qui, ne se doutant de ce qui se tramait dans les donjons, vivaient paisiblement leur vie. C’est d’ailleurs pour cette raison que Devit en veut à ses frères, de ne pas avoir été assez vigilant pour entrevoir le lourd secret de leur mère pêcheuse. Mais cette soirée là, Devit n’était plus dans sa prison, il avait réussi à fuir dupant les seuls gardes qui gardaient l’entrée des limbes terrestre. Courant, fuyant et ce aussi vite qu’il le put sans faire attention à cette personne qui l’avait, inconsciemment, aidé. Cette personne, ou plutôt cette chose, avait été suffisamment maligne pour tromper la vigilance des gardes ; cette chose, c’était un chat, un simple félin. Devit était un enfant étrange, son visage était sombre, sa couleur de peau était elle-même très sombre sans parler de son style vestimentaire qui, à l’époque, était très clair et léger. Ses yeux pourpres le rendaient vraiment intrigant, d’autant plus que dans sa prison de fer il s’est forgé une personnalité très controversé. Dans la nuit, il était très difficile de le remarquer et c’est avec cet atout-là qu’il s’en est allé dans les bourgades voisines afin de fuir le maudit joug de ses géniteurs.

◄ « Ce n’est pas que j’avais peur, non c’était autre chose, c’était de l’excitation. Braver l’interdit ça m’a toujours plu sans que je n’ai cette unique occasion de la réaliser. Je pense que ma mère a bien eu raison de m’enfermer dans ces cachots, je suis loin d’être facile à dompter. Mon regard maudit, mes origines prohibées et mon style différent, j’étais son portrait craché. Par ces traits-ci on ne peut me confondre dans la foule et j’aime me sentir différent. Mais vous savez ce qui me rend encore bien plus hautain ? C’est le fait de savoir qu’ils ne savent ce que je suis devenu, espérer que je revienne, le fait de penser qu’ils pourraient s’inquiéter et s’en vouloir, briser le secret auprès de mes frères. Oui, je suis très difficile à cerner et encore bien plus à dominer. Je suis comme elle, comme ma mère, je suis une sacrée salope. » ►

Traversant les champs de blés, de maïs, les routes rocailleuses, sablées parfois, il riait à gorge déployée car il se sentait libre, loin de toute cette mascarade. La lune illuminait la joie, le bonheur et la réjouissance de cet adolescent abandonné à lui-même qui filait à vive allure là où il désirait mettre le pied, là où il désirait souiller les terres de sa néfaste présence. Le paysage changeait à chaque carrefour qu’il dégradait, il traversait des contrées, une fois l’horizon était dégagé et aéré, d’autres fois il était obstrué par la présence de bâtisses plus ou moins intéressantes.
Il termina finalement sa course au pied d’un arbre solitaire, un chêne qui plus est, au beau milieu d’une prairie, sur lequel il s’adossa. Fermant les yeux, il se mit à imaginer toute sorte de choses. Notamment comment on pouvait faire ça à un enfant, comment on pouvait infliger de tels châtiments à un enfant qui vient de naître jusqu’à son adolescence. D’après lui, les Datenshi ne sont qu’une marque de fabrique qui ne cesse de pondre et de pondre de nouveaux héritiers ; Devit n’a simplement pas eu la chance de naître de la bonne mère. Quoique d’être l’enfant d’une reine, c’est tout de même privilégié même si cela encourt de ne pas profiter d’une vie paisible. Cependant, il en était certain, il serait une machine de guerre, ce qu’il voudrait plus tard, c’est lui faire payer tout ce qu’elle lui a imposé. Soudain, pris d’une poussée d’adrénaline conséquente, il serra le poing le fracturant sur le sol écrasant ce pauvre chat qui l’avait suivi jusqu’à cet endroit paisible. Quelle ironie du sort, l’animal avait sauvé la vie de cet humain mais il finirait mort par la main insatiable de cet être dépourvu d’amour. Le félin semblait avoir mal, il suffoquait et souffrait langoureusement tandis que l’adolescent le regardait agoniser.

◄ « Voilà, il est la représentation de mon mal-être. Ce chat, ce stupide chat face à moi ; je suis ma propre mère et ce chat me représente. Je ne bouge pas, je le regarde simplement mourir à petit feu tandis qu’il me supplie d’abréger ses souffrances. Que dois-je faire ? Dois-je répondre à ses appels de détresse et l’aider ou dois-je accomplir mon devoir et ignorer cette pauvre bête ? Je pense que cette chienne – ma mère – avait ce même genre de dilemme et plutôt que de m’aider, elle a préféré ne pas faillir à son devoir de reine. Alors moi, que suis-je sensé penser ? Assouvir ma vengeance et abandonner cet animal, où l’aider et renoncer au temps qu’il me reste avant qu’elle ne décède de sa maladie ? La seule façon de vivre c’est d’éliminer ses démons. Merci d’avoir exister, petit chat mais … pardonne moi de ce mal qui te fait souffrir ; au moins, tu sais ce que j’ai ressenti durant quinze longues années. » ►

Fin :
.

[Chef du Clan Datenshi | Admin]

Rp agréable à lire, bon vocabulaire j'ai beaucoup aimé, la comparaison du chat à ta propre vie était bien trouvée, du moins tu lui as bien imagé dirons nous ><

Donc je te nomme guerrier du clan Datenshi, tu peux choisir moins si tu le souhaites où accepter ce titre.

Pour ton xp tu gagnes 8 et non pas 5 ^^

Bon jeu parmi nous petit frère caché x)

[Novice du Clan Datenshi]

Je reste Novice dans ce cas . Merci du compliment en tout cas !
A très bientôt dans le RP cher frère détesté

[Chef du Clan Datenshi | Admin]

Okay, donc présentation validée